MAX, depuis longtemps m’avait avoué son envie de partager cette culture gaélique qui l’imprégnait, ainsi que cette fascination pour la mer qu’il avait vécue
et vivait encore en ses souvenirs.
Ses origines où se côtoyaient, se croisaient, se heurtaient Bretons et Normands,
ne pouvaient que provoquer la tentation d’expliquer le pourquoi
de ce sentiment inconditionnel.
Quel que soit le temps, me disait-il, ces pays sont beaux et prenant dans leur vérité,
dans la rudesse de leur beauté.
Ces contrées hors du commun, quel que soit le moment de la vie : de l’enfance,
aux portes de l’au-delà, s’inscrivent fortement et envoûtent inexplicablement.
Et, ajoutait-il, un pays que l’on aime vivre est un pays où il doit faire bon mourir.
Dans ces récits, au travers de descriptions, émotionnelles, surgissent soudain
des écueils.
Dans des situations contemplatives où la plénitude vit son paroxysme, la mort rôde, informelle, telle une sensation malsaine, une angoisse attentive.
Si l’âme russe est excessivement sensible, la perception gaélique est une complexité
de souvenirs, de légendes, de croyances et de crainte du lendemain, mais aussi
une volonté d’assumer ce que d’aucun considérerait comme insurmontable.
Imprégnez vous de ces récits… vous comprendrez.
CARPE DIEM :
Cueille le jour présent et sois le moins curieux de l'avenir. Horace
Vous pouvez commander ce livre au prix de 8 € (franco de port pour Gonesse), en adressant un courriel à l'adresse suivante : mj-alex[at]sfr.fr.
MAX, un pseudonyme naturellement, dont le choix n'est pas le fait du hasard ou d'un caprice.
Deux évidences s'imposaient à lui :
La notion de liberté qu'il considère comme essentielle ; en filigrane se déssinent d'ailleurs, tout naturellement, les paroles de la célèbre chanson, « il est libre MAX, certains même disent qu'ils l'ont vu voler ».
Cette liberté dans le style, la spontanéité, la virulence parfois, faisant fi des grades, des pontifes, des poncifs et des dogmes s'exprime viscéralement, et non pas du bout de l'esprit.
Irascible et mordant, incisif et blessant, il ne tolère ni l'injustice, la bêtise ou l'hypocrisie.
Il sait provoquer une larme, comme il sait satiriquement, planter quelques banderilles et provoquer le rire.
Poète et attentif à son environnement, il nous entraîne à partager avec tout autant de passion les émotions que lui inspirent la nature ou les hommes (et les femmes en particulier).
La mer est omniprésente et s'accompagne souvent d'une autre présence, la mort ainsi que l'aspect métaphysique de l'univers qu'il nous apprend à partager.
Son implication est multiple, mais il refuse l'engagement qui serait pour lui une servitude, une dépendance, un joug qu'il ne saurait supporter.
Vous croyez le comprendre, vous pensez le cerner, mais toujours épris de liberté, il vous échappe.
Quant à la deuxième raison qui a délibérément déterminé son pseudonyme de MAX, c'est tout simplement le reflet des initiales et composantes de son véritable nom.
Drôle de bonhomme ou d'homme bon ? À vous d'en juger, car si le regard est le reflet de l'âme, la plume en est le prolongement.
Vous pouvez commander ce livre au prix de 10 € (franco de port pour Gonesse), en adressant un courriel à l'adresse suivante : mj-alex[at]sfr.fr.
Tout d'abord, décrire avec objectivité et réalisme ce que fut la vie des jeunes de notre génération, au milieu d'un siècle fortement perturbé.
Ensuite, à la liesse des « congés payés » suivront les tristes événements de la Seconde Guerre mondiale, en passant par l'exode et l'Occupation, que nous vécûmes jusqu'à la Libération ; ces récits, illustrés de nombreuses anecdotes authentiques, apportent un éclairage inhabituel et pittoresque sur cette période importante de l'Histoire, qui fut également décisive tant sur l'évolution des Techniques, de la Science que sur les faits sociaux et les genres de vie.
Dans les tomes suivants, l'Auteur, entré au service de l'Aviation Civile, apporte son témoignage personnel sur la guerre d'Algérie qu'il a connue en tant que Fonctionnaire civil affecté d'office. Revivre ainsi avec passion la naissance de l'Aéroport Charles de Gaulle car il participa activement à sa mise en service opérationnelle, ainsi que les grands moments des Salons de l'Aéronautique du Bourget.
Et comme la réalité dépasse parfois la fiction, toutes les anecdotes citées ont été réellement vécues par l'Auteur, si invraisemblables soient-elles, nous amenant à croire que « la vie est un roman » !
Né en 1932 à Denain (59), Jean Meunier entre au Service de la Navigation Aérienne en 1954 en tant que spécialiste des techniques Radar. Devenu ingénieur d'Études en 1972, il participe directement à la mise en œuvre du CANA (Centre Aéroportuaire de la Navigation Aérienne) et de la première Tour de contrôle de CDG. Puis il effectue de nombreux séjours à l'étranger (Afrique, Asie, USA…) lors de missions d'Assistance technique ou en tant que Vice-Président d'une fédération internationale d'Électroniciens de la Sécurité Aérienne.
Il termine sa carrière en 1995, en tant que Commandant de l'Aéroport du Bourget. Retraité, il s'adonne depuis à l'Écriture et à la Peinture.
(Disponible à la Maison de la Presse, rue de Paris, Gonesse, au prix de 24 €.)
Séance de dédicace à la Médiathèque de Gonesse, le 26 avril 2007.
Ce premier tome des « Mémoires » de Jean Meunier, écrivain amateur du Val-d'Oise, intitulé « 1932 à nos jours - D'un siècle à l'autre », s'adresse aussi bien aux jeunes des dernières générations qu'aux personnes âgées qui ont connu les périodes mouvementées de la seconde moitié du siècle dernier.
Pour les jeunes, ce livre procède du « devoir de mémoire », en leur apportant un éclairage pittoresque et inhabituel sur la façon dont vivaient leurs grands-parents.
Illustré de nombreuses anecdotes vécues réellement par l'auteur, il leur dépeint fidèlement la société et les mœurs de l'époque, avant que « l'après guerre » ne leur ait apporté le confort technique et technologique qu'ils connaissent actuellement.
Pour les personnes âgées, il va leur faire revivre intensément des périodes de joie (en particulier l'euphorie de l'avant-guerre avec les congés payés et l'évolution sociale), autant que les périodes difficiles voire cruelles de la guerre, avec ses cortèges de privations de toutes sortes, liberté de pensée et de mouvement ou d'alimentation… ; etc.
Au fil des récits, écrits en toute simplicité et le plus souvent avec un certain humour, les jeunes comme les anciens pourront mesurer l'évolution incontestable de la vie sociale, comme les immenses progrès techniques apparus depuis 1945.
Ce livre ne pourrait qu'apporter aux nouvelles générations un regard nouveau sur les grands événements d'un passé devenu historique et mettre en évidence les efforts dépÎoyés par leurs aînés pour essayer de leur offrir un avenir encore meilleur !
Nous souhaitons à tous qu'ils puissent en faire le meilleur usage possible !
Après avoir décrit dans son premier livre ce que fut la période d'avant-guerre et l'Occupation allemande au travers d'anecdotes souvent savoureuses mais authentiques, l'Auteur nous apporte son témoignage réaliste et pittoresque sur ce que furent les années 50, prometteuses mais assombries par la Guerre d'Algérie et les crises politiques qu'elle entraîna…
Il assista comme témoin ou comme acteur en certaines occasions, à la célèbre « Bataille d'Alger ». Puis ce fut la Crise de Suez, l'Affaire Ben Bella, les Attentats d'Alger…, non plus en tant que militaire mais comme Fonctionnaire civil affecté d'office, d'où une vue originale et insolite sur ces événements tragiques.
Enfin, le « Service militaire obligatoire » des années 58/59 termine ce second tome d'une biographie riche en souvenirs personnels et en récits réellement vécus, contés le plus souvent avec objectivité et humour…
Jean Meunier nous livre ici la suite à 1932 à nos jours.
(Disponible à la Maison de la Presse, rue de Paris, Gonesse, au prix de 22 €.)
Enseignante à Gonesse (écoles Roger-Salengro et Charles-Péguy), de 1977 à 1994, Mme Geneviève Bryche, en retraite dans la région, publie un recueil de poésies, « Poèmes pour vivre ».
Quand j'ai franchi le pont
Qui menait à la mer
J'avais les yeux trop grands
Et la bouche encore close
Mes oreilles tintaient
Des tambours de la guerre
Dans le monde établis
C'était à l'âge où l'on veut vivre
J'avais lu les lettres de Sang…
Vous pouvez vous le procurer en téléchargeant ici le bulletin de souscription.
Le photographe Robert Delpit cherche des familles désireuses de devenir partenaires de ce projet en acceptant de poser en famille chez elles ou dehors, devant l'habitation. Les photos une fois réalisées vous seront offertes en remerciement de votre collaboration. Ce projet est ouvert à tous. Il donnera lieu à une exposition itinérante dans la ville de Gonesse.
Vous pouvez laisser vos coordonnées au secrétariat du centre Marc-Sangnier. Je ne manquerai pas de prendre contact avec vous, pour vous en dire plus sur la finalité et l'utilisation des photos.
Merci !
Robert Delpit, photographe-auteur, tél.: 06 80 63 02 31.
L’Union des Associations Familiales du Val-d’Oise fait part du lancement récent de son site départemental et de la création d’une nouvelle source d’informations pour les citoyens.
But du site :
Offrir des informations pratiques, juridiques, et exhaustives sur les problèmes que les familles peuvent rencontrer.
Il permet, par exemple, en trois clics de s’informer :
Pour information :
L'Union Départementale des Associations Familiales du Val-d’Oise tient sa légitimité de l’ordonnance de 1945 qui lui fixe trois missions principales :
Travaux de ménage, repassage, bricolage, jardinage, garde d'enfants, aide aux personnes âgées, malades ou handicapées, préparation de repas exotiques, manutentions diverses…
Avec l'association, c'est simple :
Appel Service, Association Intermédiaire agréée par la Préfecture, à but non lucratif : 20, square de la Garenne, 95500 Gonesse - Tél. : 01 39 85 24 79.
L'Association Intermédiaire a également un rôle d'accueil, d'écoute, d'information et d'accompagnement. Elle travaille en relation avec l'ANPE de Gonesse et d'autres partenaires sociaux (CCAS, mairies,…) Pour certains demandeurs d'emploi de longue durée, elle fournit un tremplin, un passage, leur permettant de retrouver confiance en eux et de se réinsérer dans la vie active. La structure de l'association est petite, mais conviviale et accueillante.
La Voix des Assyro-Chaldéens
tous les jeudis, de 16 à 17 heures
en direct sur www.rfpp.net.
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« Poèmes pour vivre »
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